Deux ans après, je publie ici un texte de 2021 qui était resté à l’état de brouillon.
Tu me dis anti-vax alors que je n’ai rien contre les vaccins. Je veux bien admettre ici que les injections ARNm soient des vaccins, mais si ce n’était pas le cas, il faudrait alors dire piquer et pas vacciner, ce qui serait moins noble. Mais pour l’heure, parlons de vaccination.
Anti-vax donc ? Cherches tu à réduire la question sanitaire à la seule vaccination alors qu’elle concerne aussi les traitements curatifs et les mesures sociales coercitives : enfermements, masques obligatoires et surtout l’ignoble passe vaccinal, c’est à dire les injections forcées qui ont davantage à voir avec la charte de NUREMBERG qu’avec Louis PASTEUR ?
Donc non, pas spécialement anti-vax, mais vraiment furax parce que nous sommes dirigés par des forcenés qui affolent les populations et prennent des mesures sans rapport avec une maladie pas plus létale qu’une grippe.
Je suis furax parce que les institutions censées protéger notre santé et nos droits sont passées au service de l’industrie pharmaceutique et d’un infâme projet politique qui tue nos libertés et viole nos lois. Je suis furax parce qu’il serait complotiste de dire tout cela; c’est à dire que la parole est bâillonnée.
Furax aussi de voir que le discours de la peur atteint les consciences et éteint les consciences …
Furax de voir que la folie vaccinale n’est pas enrayée par l’échec des campagnes de piqûres ni par l’affaiblissement de la « terrible pandémie » qui se dilue tranquillement dans la grippe saisonnière.
Furax enfin parce que cette folie s’en prend même aux enfants, pour qui la maladie est bénigne, au motif de protéger les vieux, pour qui elle n’est pas plus redoutable qu’une grippe.
On me demande si je suis vacciné. Une question incongrue au regard du secret médical, mais devenue de rigueur puisqu’il faut maintenant prouver sa vaccination pour vivre normalement, si l’on considère normal de répondre aux convocations de rappel et de vivre sous la menace d’un effet secondaire invalidant, pour ceux qui y échappent dose après dose…
Alors non, pas vacciné. Je ne suis pourtant pas hostile à l’idée. Cependant, je me suis méfié dès le départ de l’insistance avec laquelle on a voulu nous convaincre que le vaccin était la seule solution contre une maladie soi disant très grave. Je me suis méfié de la hâte à acheter et distribuer des produits incomplètement testés. Tout cela dans un contexte de dramatisation alors que la situation était vraiment très loin de l’hécatombe annoncée. Cette méfiance n’a fait que se renforcer avec l’acharnement vaccinal, le maintien de la psychose et surtout la volonté de faire taire toute voix contraire à la doxa du Saint Vaccin.
Une méfiance encore accrue au vu de l’importance des effets secondaires graves, du jamais vu dans l’histoire de la pharmacovigilance, tous médicaments confondus. Cette hécatombe vaccinale couverte par l’omerta justifierait un procès pénal, au même titre que le refus de soins précoces, car il s’agit là de crimes. Crimes par négligence dans le meilleur des cas.
Donc, pas vacciné et pas du tout pressé de l’être, mais pas hostile non plus à l’idée d’un vaccin pourvu qu’il soit librement consenti et correctement validé. Le futur vaccin Valneva, ou bien le chantage auquel je suis soumis, auront peut-être raison de mes réticences, mais en attendant c’est non.
Addendum 2023 : Aujourd’hui je ne suis toujours pas piqué et encore plus réticent à l’égard de ces soupes appelées vaccins qui sont inefficaces et qui semblent plus dangereuses que la maladie ! Je soupçonne que les produits injectés sont dangereux par conception et que certains lots sont plus dangereux que d’autres, la question étant de savoir si un mauvais conditionnement (par exemple dans la chaine du froid) rend le produit inoffensif ou plus toxique !
Je ne suis pas anti-vax, mais furax. Furax contre les nazis qui gouvernent, les larbins, les imbéciles et autres pleutres qui collaborent activement à l’escroquerie. Les seuls à qui je ne peux en vouloir sont ceux qui s’abstiennent de prêcher ou de juger.
Les pires sont ceux qui nous considèrent, nous les soi-disant anti-vax, comme des incultes et anti-tout (hé oui, j’ai entendu ça). Ces imbéciles brandissent la science comme une religion. Ils invoquent un prétendu consensus scientifique, ne retenant que les déclarations des officines d’état et mettant de coté les experts indépendants et les études qui déplaisent. Pire, ils appellent science les mesures politiques prises au nom de la science grâce à la caution douteuse de certains professionnels, hélas bien trop nombreux.